Carrefour de la philosophie et du jazz, Saint-Germain-des-Prés devient le temple du renouveau au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale. Au Tabou, ancien nom du Café Laurent, Anne-Marie Cazalis croise Boris Vian, Abadie, mais aussi Gréco, Queneau, Mauriac, Sartre et bien d’autres zazous, lors de soirée où le jazz, l’existentialisme et une certaine joie de vivre règnent en maîtres.
Aujourd’hui, le Café Laurent, même s’il a repris son nom d’origine, perpétue cette tradition intimement liée à l’histoire du quartier. Du mercredi au samedi soirs, pianistes, ensembles musicaux et chanteurs se succèdent sur la scène de notre piano bar.