Apocalypse survival camp 2.65

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martino marjorie 759 chemin le maltrait
Auriol, 13390
France

About Apocalypse survival camp

Apocalypse survival camp Apocalypse survival camp is a well known place listed as Landmark in Auriol , Camp in Auriol ,

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Details

Bonjour a toutes et a tous le but de l'apocalypse survivor camp est de ce revitalisé l'esprit. de faire de la survie. apprendre a y poser toutes sortes de pièges. apprendre a chasser de ces propre moyens avec ou sans arme. apprendre a trouver de la nourriture. ou trouver de l'eau pratiquement potable. apprendre a ce défendre. et y passer de bon moment entre amis. en fin connaitre une part de soit que l'on ne connait pas forcément. voila tout.

Le survivaliste se prépare en fonction de la situation anticipée. La préparation la plus importante est celle pour un événement qui nous touche individuellement, comme :

un accident de la route ;
un incendie au domicile ;
un accident domestique ;
un décès ;
un cambriolage ;
une agression.
une invasion aliens;
un apocalypse zombies;
une guerre et guerre mondial;
une situation d'isolement dans la nature ; Les Stroud, parfois qualifié d'expert survivaliste, en est le représentant américain le plus médiatisé.
Ensuite viennent les évènements locaux, touchant une zone limitée, par exemple des suites du mauvais temps ou de troubles sociaux :

Coupure d’électricité, de gaz ou d'eau ;
Rupture des circuits d'approvisionnement en nourriture ;
Rupture des services publics (plus de police, pompiers, etc.) ;
Catastrophes naturelles (tornades et ouragans, tremblements de terre, blizzards, inondation, éruption volcanique, tsunami...) ou d'origine humaine mais avec le même effet (centrale nucléaire, rupture de barrage).
Enfin viennent les évènements à échelle régionale, nationale ou mondiale. Lors de ces évènements, chaque individu est livré à lui-même.

Catastrophe économique ;
Catastrophes naturelles liées au réchauffement climatique ;
Pandémie ;
Conflits humains (guerre nucléaire, guerre biologique, guerre chimique, guerre conventionnelle, guérilla, attaque terroriste, guerre civile) ;
Désordre consécutif à la catastrophe primaire : rupture d'approvisionnement en eau potable et en aliments sains, en énergie, médicaments, dissolution de l'ordre social, développement de conflits autour des ressources restantes.
Pour résumer tout cela, il est d'usage de se protéger contre une épidémie de type "zombie". Ce type de catastrophe fictive rassemble presque tous les risques possibles.

Solutions envisagées
Une base autonome durable6 (BAD) doit comporter une réserve et un approvisionnement en eau potable, en nourriture, en énergie, en soins, en distraction, en informations et en relations humaines. Sa surface doit donc être assez grande pour cultiver et élever. Des évacuations (sortie de secours, ordures, excréments, urines...) et de quoi reconstruire la civilisation sont indispensables.

Le néosurvivalisme ou les « preppers »
Plus récemment, le besoin d'être simplement prévoyant de la part de certains individus ainsi que de se distancier des connotations sectaires, extrémistes, et/ou ultra-individualistes collant au survivalisme, en particulier aux États-Unis, a donné naissance au terme « prepper » (de prepping : diminutif informel de « se préparer »).

Ainsi des réseaux de « preppers » ont vu le jour au Canada et aux États-Unis (comme l'American Preppers Network). Ces développements ont conduit Gerald Celente, le fondateur du « Trends Research Institute » à relever l'émergence de ce qu'il appelle le Néosurvivalisme. Il définit ce phénomène dans une interview accordée à Jim Puplava en décembre 2009 :

«(dans) les années '70, la seule chose que l'on voyait était un seul élément du survivalisme : la caricature, le gars avec son AK-47, se dirigeant vers les collines avec assez de munitions, de porc et de haricots pour traverser la tempête. Le Neosurvivalisme est très différent de ça. On observe des citoyens ordinaires, prenant des initiatives futées, se diriger dans un sens intelligent afin de se préparer au pire. (...) Il s'agit donc d'un survivalisme de toutes les façons possibles : cultiver soi-même, être auto-suffisant, faire autant que possible pour se débrouiller aussi bien que possible par soi-même. Et cela peut se faire dans des zones urbaines, semi-urbaines ou à la campagne. Cela veut dire également : devenir de plus en plus solidement engagé avec ses voisins, son quartier. Travailler ensemble et comprendre que nous sommes tous dans le même bain. Le meilleur moyen d'avancer c'est en s'aidant mutuellement.(...)»

Selon une étude de Bertrand Vidal, une évolution du survivalisme s'est bien produite au début du xxie siècle : « si au départ l’on pouvait dire qu’il existe une unique population survivaliste qui pouvait se définir racialement, politiquement, économiquement et autres, aujourd’hui le mouvement est protéiforme, multiple, trans-générationnel. Tout le monde peut, un jour, devenir survivaliste ».

« Le « prepper », s’il ne diffère pas du survivaliste quant aux pratiques mises en œuvre pour la survie, la préparation au pire, se présente plutôt comme un mode de vie, une attitude quotidienne que comme un moyen de survie ».

L'étude cite le survivaliste français Vol West, vivant aux États-Unis : « Quand je stocke six mois de nourriture comme le faisaient nos ancêtres, ce n'est pas dans l'anticipation de la fin du monde, mais bien dans une intention d'indépendance face à un système juste à temps. ».


Émissions télévisées et films.

Le Survivant

Dual Survival

The Colony

Seul face à la nature

Alone , les survivants

The Island, seuls au monde

The Walking Dead

fear The Walking Dead

Z-nation

resident evil

navy seals vs zombies

scouts guide to the zombie apocalypse

l'armée des morts

ected

between

extinction l'ère glaciaire

outsider


Le survivalisme dans le monde.

La préparation survivaliste, individuelle ou en groupe, qu'elle soit formelle ou informelle, ainsi que les forums et blogs dédiés sont populaires dans le monde. Ils sont le plus visibles en Australie Autriche, Belgique, Canada, France, Allemagne (souvent sous l'appellation de clubs de sports extrêmes), Pays-Bas Nouvelle-Zélande, Russie, Suède, Royaume-Uni et aux États-Unis.

En France plus spécifiquement, le survivalisme se rapproche davantage du concept d'autonomie durable que de prepping et d'apocalypse. On y traite bien sûr de la Survie, du Bushcraft, des premiers soins mais également de la permaculture, des énergies vertes, de la conception d'habitats durables, de météo en plus du prepping. Parmi les nouveaux sites de référence traitant du survivalisme, certains apportent un point de vue plus neutre et moins alarmiste, tel lesurvivalisme.com

Essais.

Survivre à l'effondrement économique de Piero San Giorgio (guide pratique de survie, 2011).
Rues barbares - Survivre en ville de Piero San Giorgio et Vol West (2012)
La stratégie alpha - John Pugsley

Sac d'évacuation.

Le sac d'évacuation (également connu sous le nom de Bug-out bag ou BOB) est un sac qui contient les éléments nécessaire à la survie pendant soixante-douze heures lors de l'évacuation due à une catastrophe. Le sac peut être conservé au domicile, dans un véhicule ou sur le lieu de travail. Le sac doit être facile à transporter et facilement accessible. C'est pourquoi il est préférable de ne pas l'entreposer dans la cave ou dans le grenier d'une maison.

Contenu typique.

Le contenu d'un sac d'évacuation varie selon le lieu, l’environnement et les besoins des bénéficiaires. Cependant, la plupart des éléments suivants est généralement fourni dans un sac d'évacuation (liste non exhaustive) :

nourriture et eau en quantité suffisante pour une durée de 72 heures (notamment des aliments non périssables et des systèmes de purification de l'eau),

une trousse de premiers soins,

des outil de départ de feu (briquets, allumettes, tiges à feu…).

cartes routières ou d'autre équipement de localisation, adaptés à la région,

vêtements de rechange,

sacs de couchage et couvertures, bâche pour faire un abri de survie.

file, paracorde, corde, mousqueton.

suffisamment de médicament pour une période d'évacuation prolongée,

une petite radio à piles, deux radio portatif

une lampe de poche, lampe frontale et des bâtons lumineux pour l'éclairage,

un couteau pliant et un couteau à lame fixe, une pelle pliante, une hachette, une machette, une pierre a aiguiser, une scie pliable.

du ruban adhésif. de la colle glu,

un kit ouverture, porte, voiture, ( pied de biche, pince coupe boulon, ).

une chaîne, un cadenas.