Dans nos sociétés occidentales, la mort est souvent taboue ou empreinte de discours négatifs qui visent à l’éluder.
Qui ose parler de la mort ?
Pourquoi est-ce gênant de l’aborder ?
Les « spécialistes » auraient-ils l’exclusivité sur la mort ?
Selon nous, la mort appartient d’abord à tout un chacun. Au regard des traditions séculaires de transmission orale, l’Homme est légitime dans son expression de la mort.
Tels des passeurs de la parole, nous nous inscrivons dans la continuité des rites oraux en faisant émerger un discours spontané et intuitif autour de la mort.